Après des exploits au poker, « Le Crack » perd la tête : entre excès, drogue et dérapages

Il avait tout pour lui. Talent brut, charisme, argent… Thomas, surnommé « Le Crack », était devenu en quelques mois l’étoile montante du poker français. Son triomphe récent lors de l’événement BetKingPoker, couronné par un cash prize monumental, l’avait propulsé sous les projecteurs. Mais derrière les projecteurs, la réalité était plus sombre.

Une ascension fulgurante… puis la chute

Ce qu’on prenait pour de la confiance était peut-être déjà le signe d’un mal-être grandissant. Depuis sa victoire, les rumeurs allaient bon train : apparitions imprévisibles en soirée, comportements incohérents en ligne, absences aux tournois où il était attendu. Mais la confirmation est tombée cette semaine : Thomas traverse une période noire, empoisonnée par les excès et la drogue.

L’envers du décor

Selon des proches, « Le Crack » aurait plongé tête la première dans les dérives d’un monde où tout va trop vite. Cocaïne, nuits blanches, isolement : les signes étaient là, mais difficile de freiner quelqu’un lancé à 200 km/h dans une spirale de succès et de pression.

« Il voulait tenir le rôle qu’on attendait de lui, mais il s’est perdu en route », confie un ami d’enfance sous couvert d’anonymat.

Une image ternie, mais un espoir subsiste

Les fans sont sous le choc. Le golden boy du poker n’est plus que l’ombre de lui-même. Et pourtant, derrière cette chute spectaculaire, beaucoup espèrent encore une renaissance. Thomas n’a pas perdu son génie. Il a simplement, comme tant d’autres avant lui, brûlé ses ailes au contact du feu.

Une pause serait déjà envisagée. Certains parlent d’un retour aux sources, d’une retraite temporaire pour se reconstruire, loin du bruit et des faux-semblants.